Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques

Alors que le racisme ravage notre chère planète bleue, s'ouvre en Grèce les Jeux Olympique. L'occasion révée de prouver à tous les extrémistes qui veulent virer tous les noirs de France, l'importance de ces derniers...

Écris toi aussi un article et gagne des cadeaux ! Les hommes naissent et demeurent égaux en droit ! Tel est le premier article de la déclaration des droits de l'homme. Mais les hommes ne sont pas uniquement égaux en droit, ils le sont aussi au niveau des compétence, les étrangers et noirs ne sont nullement inférieurs aux blancs comme le pensait Darwin. Les Jeux Olympique 2004 et a forciori ceux des années précédentes ont su prouver qu'au plus haut niveau les noirs pouvaient aussi bien briller que les noirs. Cette affirmation est appuyée par la présence de 41 ultramarins dans la délégation française des JO Vendredi soir alors que tous les regards étaient tournés vers le stade olympique d'Athènes, un homme faisait la fierté d'un peuple tout entier et de toute une nation. Jackson Richarson, handballeur de l'équipe de France eut en effet l'honneur d'etre le porte drapeau de la délégation française. Mais cette honneur ne lui fut pas attribué par hasard, en effet Richardson a mérité cet honneur qui est venu couronner des années de labeur et réussite. Jackson Richardson n'est pas le seul a avoir montré que les ultramarins pouvaient briller au plus haut niveau, d'autre ont heureusement ouvert la voie L'une des plus populaire fut sans aucun doute Marie José Pérec, la reine des stades des années 90. Championne Olympique à Barcelone et Atlanta, Marie Jo Pérec fut et est toujours la fierté des Antilles, celle qui montrait que l'on pouvait etre noire et briller au plus haut niveau et que la seule chose qui pouvait conduire au sommet était le travail. Acculée par la presse durant les Jeux Olympique de Sydney, Marie Josée Pérec marqua la fin d'une époque et commenca a écrire la page des gazelles antillaise. Aujourd'hui retraité sportive, elle n'a pas a s'en faire car la relève est très bien assurée Et ce ne sont pas Christine Aaron, Murielle Hurtis, Sylvianne Félix ou Eunis Baber qui diront le contraire, après le succès des championnat du monde, rien ne semble pouvoir les arreter. Mais l'athlétisme n'est pas la seule discipline où les noirs brillent puisque Mahalia Metella, Laura Flessel et les autres font les bonheur des Français. Alors à tous les racistes qui pensent que les noirs ne sont pas dignes et égaux, arretez vos bétises et ouvrez les yeux. Vous verrez que souvent dans bien des domaines les noirs vous sont égaux et même supérieur. Allez disons tous stop au racisme et vive le sport

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Re: Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques Posté par moinsundemi le 20/08/2004 07:57:35

Une chose est claire, un tel article EST raciste pro-noir, et ne peut servir qu'à une chose : créer des racistes anti-noirs. C'est pas vraiment malin. Je croyais d'ailleurs, naïvement probablement ;) que les noirs gagnaient des médailles au nom d'un pays, et pas au nom d'une race ... Mais je dois me tromper.

Re: Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques Posté par kirkor le 20/08/2004 07:57:35

Cet article me laisse perplexe... mais puisque tout à été dit (et comme je n'aime pas poster pour rien), petit rappel historique : JO de 1936 (Berlin) Le contexte Nul besoin d'être historien pour prendre la mesure du contexte dans lequel l'Allemagne nazie organise en 1936 à Berlin les XXIèmes Jeux Olympiques de l'ère moderne. Pour le chancelier Hitler ces olympiades sont en effet l'occasion unique de prouver à la face du monde la superiorité de la race aryenne. C'est pourquoi, des moyens colossaux sont mis en oeuvre pour assurer la promotion de l'évènement. Ainsi, vingt-cinq grands écrans furent installés dans Berlin, permettant au public local d'assister gratuitement aux différentes épreuves et faisant des Jeux Olympiques de 1936 les premiers à être retransmis dans une forme de spectacle télévisé. L'Allemagne ne semble cependant pas si sur de son fait. C'est pourquoi, le Völkischer Beobachter, organe du parti, demande l'exclusion des athlètes de race noire. Mais, devant les menaces de représailles du Comité International Olympique, ces derniers seront bien présents à Berlin. Et parmi eux, un sprinter du nom de Jesse Owens qui fera parler de lui... Malgré les menaces de boycott, ce sont ainsi près de 4 000 athlètes en provenance de 49 pays qui foulent la piste du Stade Olympique lors de la cérémonie d'ouverture. Beaucoup de ces délégations nationales consentiront malheureusement à effectuer le salut nazi lors du passage devant la tribune du Führer. Triste spectacle... Durant deux semaines, Berlin devient cependant la capitale mondiale du sport, dans un contexte politique extrêmement tendu. Le symbole Durant ces Jeux, un homme va marquer les esprits : Jesse Owens. Il s'est déjà assuré une place dans l'histoire du sport le 25 mai 1935,en battant cinq records du monde en l'espace de 45 minutes. Mais la performance qu'il va accomplir à Berlin le propulsera carrément dans la légende : 4 médailles d'or au cours d'une même olympiade (assorties s'il vous plaît de 4 records du monde). Personne ne l'avait encore jamais fait, et très peu d'athlètes y parviendront par la suite [1]. La démonstration commence avec l'épreuve reine du 100 mètres : Owens y égale le record olympique dès la première série des qualifications. En finale, il prend la tête dès le coup de pistolet et résiste facilement au sprint final de son compatriote Ralph Metcalfe pour l'emporter avec un mètre d'avance en 10.2s. La domination aryenne a déjà du plomb dans l'aile : aucune athlète allemand ne figure sur le podium puisque c'est le néerlandais Martinus Osendarp qui obtient la médaille de bronze. Et celà ne fait que commencer puisque l'histoire se répète au cours du 200 mètres : Owens écrase à nouveau la concurrence : il s'impose en 20.3s. On assiste encore à un doublé américain puisque la médaille d'argent revient à Matthew Robinson. Le néerlandais Martinus Osendarp est à nouveau troisième. Mais c'est surtout l'épreuve du saut en longueur qui fabriqua la légende des JO de Berlin. En effet, Jesse Owens va trouver sur sa route un allemand : Lutz Long. Physiquement, Lutz Long est le prototype du parfait aryen. L'épreuve suscite donc toute l'attention de Hitler. Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Au cours des qualifications, Owens est en difficulté, mordant trop souvent la planche. Son adversaire, pur spécialiste du saut en longueur fait alors preuve d'une grande sportivité en lui prodiguant de judicieux conseils qui permettront à Owens de se qualifier pour la finale (cette anecdote a été racontée par Owens lui même près de 30 ans après). L'américain la remporte sans problème avec un bond à 8,34 mètres. Lutz Long avouera alors publiquement son admiration pour Jesse Owens, bravant ainsi l'autorité du parti. Hitler, furieux, quittera la tribune sans même serrer la main au vainqueur. Quand aux deux hommes, une profonde amitié les liera, jusqu'à la mort de Long au cours de la seconde Guerre Mondiale. Jesse Owens parachèvera son triomphe avec l'équipe américaine du relais 4 X 100 mètres. Les USA s'imposent en 39.8s avec un record du monde qui ne sera battu qu'en 1956. Pour signifier la portée de l'exploit réalisé par Jesse Owens et sa dimension symbolique, on se contentera de dire qu'aujourd'hui, à Berlin, une rue porte désormais son nom, celui d'un athlète noir, petit fils d'esclave, ayant humilié le régime nazi à lui tout seul. Mort en 1980 d'un cancer du poumon, il figure à jamais dans le panthéon des grandes figures du sport moderne.

Re: Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques Posté par mr bibi le 20/08/2004 07:57:34

personnelement je suis noir, et je trouve que cet article est une honte, rien que le titre et les propos sont choquants, j'ai pitié pour l'auteur...

Re: Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques Posté par mr bibi le 20/08/2004 07:57:34

Houlà houlà calmos ma grande, non m'ais tu te rend compte un peu ce que tu écris ! TU ES UNE RACISTE ! il n'y a pas d'autres mots pour qualifier ton attitude et tes paroles. je te cite : "les noirs nous sommes capable de réussir et peut etre mieux que ceux qui leurs crachent dessus ", non seulement tu part du principe que tous les blancs sont des racistes et des extremistes et que les noirs de france sont opprimés. je ne sais pas quelle est la situation en martinique et je ne sais pas si tu es déjà venue mais ça se passe pas comme ça. Dans les universités ou j'ai étudié, j'ai eu beucoup d'amis noirs ou asiatiques qui ont eu d'exellents resultats à leurs examens et qui ont très bien réussi dans la vie, jamais au grand jamais ils n'ont été recalés ou eu des problemes quelquonques dus a leur couleur de peau. "mieux que ceux qui leurs crachent dessus " dis-tu, qui crache sur qui là ? tu part du principe que tous ceux qui ont repondus à ton article sont blancs et racistes c'est ça ? "votre chère petite France adorée" alors c'est notre france ? pas la tienne ? tu es française pourtant, tu es sur "france-jeunes". Ton article et ton commentaire sont racistes, intolerants, bourrés de préjugés envers les autres, tu dois avoir une vie bien triste... ps : si tu avait écrit un article vantant les éloges des blancs, j'aurais fait exactement la même chose que ce que je fais, je t'aurais remis à ta place, l'intolerance ne mène qu'à la colère, la colère à la haine... pour le reste l'histoire à déjà montré les dégats que celà a fait. le racisme existe à cause des gens comme toi qui entretienne ce genre de haine, quelque soit leur couleur de peau.

Re: Nous noirs, maitres des Jeux Olympiques Posté par vanouch le 20/08/2004 07:57:34

Mais vous n'avez pas compris l'article te somme toute etes peut etre aussi raciste que les autres . Vous n'en avez rien a foutre que dans votre chère petite France adorée des jeunes soit recalés a cause de leur couleur de peau.Mon article ne servait qu'a montrer que nous les nnoirs nous sommes capable de réussir et peut etre mieux que ceux qui leurs crachent dessus . Vous n'avez rien compris et je me demande si vous avez vraiment cherché a le comprendre .Si j'avais écris un article vantant les éloges des blancs vous ne l'auriez pas jugé médiocre

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