Remember when you were young, You shone like the sun Shine on you Crazy Diamond Now you've got something in your eyes, Like black holes in the sky Shine on you Crazy Diamond You were caught on the crossfire, Of childhood and stardom, Blown on the steel breeze. Come on you target for faraway laughter, Come on you stranger, you legend, you martyr, and shine!
You reached for the secret too soon, You cried for the moon. Shine on you crazy diamond. Threatened by shadows at night, And exposed in the light. Shine on you crazy diamond. Well you wore out your welcome, With random precision, Rode on the steel breeze. Come on you raver, you seer of visions, Come on you painter, you piper, you prisoner, and shine !
" There is no way to peace, Peace is the Way"
" Quand le pouvoir de l'amour vaincra l'amour du pouvoir... le monde connaîtra la paix" - Jimi Hendrix
" Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières, et c'est la troisième qui m'a choisi " - Jim Morrisson
" La réalité, c'est l'illusion créée par l'absence de drogues " - Richard Desjardins
" Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu " - Georges Courtline
" On ne vend pas la musique, on la partage " - Leonard Bernstein
" L'homme a créé des dieux ; l'inverse reste à prouver " - Serge Gainsbourg
"On aurait dit que toute une armée de souvenirs m'emportait dans le passé, dans l'Angleterre de 1750, et que maintenant à San Francisco je vivais seulement une autre vie dans un autre corps. " Non, semblait dire cette femme avec son regard terrifiée, ne reviens pas pour tourmenter ton honnête mère qui travaille durement. Tu n'es plus rien pour moi et ton père non plus, mon premier mari. Depuis que ce Grec a pris pitié de moi. (Le tenancier était un Grec aux bras poilus.) Tu n'es pas bon, tu es porté sur la boisson, sur la bagarre et, en fin de compte, tu viens voler honteusement le fruit de mon humble travail dans la boutique. Ô mon fils ! ne t'es-tu jamais mis à genoux pour demander pardon de tous tes péchés et de toutes tes canailleries ? Enfant perdu ! Va-t-en ! Ne hante pas mon âme ; j'ai bien fait de t'oublier. Ne rouvre pas de vieilles plaies, fais comme si tu n'étais jamais revenu et que tu ne m'aies pas vue là-dedans, avec mon humble ouvrage et quelques pauvres sous, va, manger de pain volé, main trop leste, triste enfant sans amour, vile créature de ma chair. Mon fils ! Mon fils !" [...]
Pendant un instant, j'avais atteint ce degré d'extase que j'avais toujours convoité, qui était le franchissement total du temps mesurable jusqu'au règne des ombres intemporelles, le ravissement dans le désert de notre condition mortelle, l'impression que la mort me chassait devant elle à coups de pied, elle-même talonnée par un spectre, si bien que je ne trouvais mon salut que sur une planche où les anges, pour y voler, plongeaient dans l'abîme sacré du néant d'avant la création, et là, des rayons d'une force merveilleuse resplendissaient de l'éclat de l'Esprit Absolu, des champs de lotus innombrables s'ordonnaient sous le magique essaim de papillons célestes. Je pouvais entendre le grondement d'une effervescence indescritpible qui ne venait point de mon oreille mais de l'infini, et qui n'avait aucun rapport avec des sons. J'ai compris que j'étais mort et revenu à la vie un nombre indéterminée de fois mais je ne pouvais précisément pas m'en souvenir pour cette raison essentielle que les transitions de la vie à la mort et le retour à la vie représentent spirituellement si peu de chose, une opération magique négligeable, comme de s'endormir et de s'éveiller à nouveau un million de fois, qu'on les subit dans l'indifférence totale et la plus profonde ignorance. Je compris que c'était uniquement à cause de la stabilité de l'Esprit essentiel que se produisaient ces fluctuations de naissances et de morts, ainsi le vent ride une nappe d'eau pure et paisible comme un miroir. J'éprouvais une béatitude douce, vacillante, comme si j'avais eu une bonne dose d'héroïne dans la veine ; comme après une rasade de vin en fin d'après-midi, et soudain vous frissonnez ; j'avais des fourmillements dans les pieds. Je me dis que j'allais mourir dans un instant."
Sur la route, Jack Kérouac, Folio Plus, p.267 |
"Etre à San Francisco dans les sixties, signifiait vivre à une époque et dans un lieu bien particuliers. Mais aucune explication, aucun mélange de mots, ou de musique, ne peut restituer ce que c’était d’être et de vivre dans ce coin du temps et de l’espace, quoique ça ait pu vouloir dire."
Marcher pieds nus, des rêves pleins la tête, le coeur débordant d'espoir...
" Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres, si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois ; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. " On ne badine pas avec l'amour
« Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu'ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n'est pas trop exigeant. Moi, je veux tout, tout de suite - et que ce soit entier - ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau si j'ai été bien sage. Je veux être sure de tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite - ou mourir. » Antigone>>
Si on me laissait seul sur une île déserte, je crois que j'emporterais juste mes disques et de quoi les écouter bien sûr. Ma Pacifica pour continuer d'apprendre à en jouer. Quelques bouquins et un flingue avec rien qu'une balle pour me tuer avant de mourir de faim... ou alors assez de coke, d'acide, d'herbe, de champis, d'ecstas et d'alcool pour me taper le plus gros trip de ma vie avant la fin...
Allez viens Wendy ! C'est la 2ème étoile à droite et tout droit, jusqu'au matin !
Concerts :
The Dark Side of the Moon - Live --- Roger Waters --- Magny-Cours le 14 Juillet 2006 The Who --- Théâtre Antique de Vienne, le 17 Juillet 2006 Neil Young --- Halle Tony Garnier, Lyon, le 25 Juin 2008 Queen + Paul Rodgers --- Paris-Bercy, le 24 Septembre 2008
Dernière modification : 30/06/2008 21:38:03
Dernière modification : 20/04/2009 00:49:52 |