dédicaces reçues    dédicaces envoyées
À bidoop, le 07 avril 2008 22:12:53 : Poupou pi dou !

"un bidoop averti en vaut deux"

"vaut mieux bidoop que jamais !"

"loin de bidoop, loin du coeur..."

"bidoop un jour, bidoop toujours"

"bidoop or not bidoop... That's the question !"

"va te faire bidoop"

et enfin, comme dirait Puff Daddy : "B-doop for life"

^^
Note morale : 10/10
À léfélante, le 07 avril 2008 22:00:44 : léfélant felant.

felant fant, l'éléphant flan.
refletant le felant éléphant,
qui par son flan,
défelant les flans et les reflans.

Flan, tant, l'éléphant PAN !

--
Petit poème,
plein d'amour,
pour une jeune éléphante
que j'aimerais toujours

:)

oula, j'suis inspiré ce soir...
Note morale : 10/10
À mutsumi, le 28 février 2008 21:06:06 : ouais, moi aussi j'trouve que t'es un garçon génial ! (l)
Note morale : 10/10
À bloodyvarie, le 04 janvier 2008 14:16:46 : Chère varice.

Une dédicace n'a pas énormément de sens...

alors pourquoi en faire une ?

Parcequ'on s'en fout complètement :)

Sanglants baisers...
Note morale : 10/10
À je n'aime pas les mâles polis, le 02 novembre 2007 18:13:19 : Je suis brisé, étourdi, comme après une longue orgie ; je m'ennuie à mourir. J'ai un vide inouï dans le coeur. Moi si calme naguère, si fier de ma sérénité, et qui travaillais du matin au soir avec une âpreté soutenue, je ne puis ni lire, ni penser, ni écrire ; ton amour m'a rendu triste. Je vois que tu souffres, je prévois que je te ferai souffrir. Je voudrais ne jamais t'avoir connue, pour toit, pour moi ensuite, et cependant ta pensée m'attire sans relâche. J'y trouve une douceur exquise. Ah ! qu'il eût mieux valu en rester à notre première promenade ! Je me doutais de tout cela ! Quand, le lendemain, je ne suis pas venu chez Phidias, c'est que je me sentais déjà glisser sur la pente. J'ai voulu m'arrêter ; qu'est-ce qui m'y a poussé ? Tant pis ! tant mieux ! Je n'ai pas reçu du ciel une organisation facétieuse. Personne plus que moi n'a le sentiment de la misère de la vie. Je ne crois à rien, pas même à moi, ce qui est rare. Je fais de l'art parce que ça m'amuse, mais je n'ai aucune foi dans le beau, pas plus que dans le reste. Aussi l'endroit de ta lettre, pauvre amie, où tu me parles de patriotisme m'aurait bien fait rire, si j'avais été dans une disposition plus gaie. Tu vas croire que je suis dur. Je voudrais l'être. Tous ceux qui m'abordent s'en trouveraient mieux, et moi aussi dont le coeur a été mangé comme l'est à l'automne l'herbe des prés par tous les moutons qui ont passé dessus. Tu n'as pas voulu me croire quand je t'ai dit que j'étais vieux. Hélas ! oui, car tout sentiment qui arrive dans mon âme s'y tourne en aigreur, comme le vin que l'on met dans les vases qui ont trop servi. Si tu savais toutes les forces internes qui m'ont épuisé, toutes les folies qui m'ont passé par la tête, tout ce que j'ai essayé et expérimenté en fait de sentiments et de passions, tu verrais que je ne suis pas si jeune. C'est toi qui es enfant, c'est toi qui es fraîche et neuve, toi dont la candeur me fait rougir. Tu m'humilies par la grandeur de ton amour. Tu méritais mieux que moi. Que la foudre m'écrase, que toutes les malédictions possibles tombent sur moi si jamais je l'oublie ! Te mépriser ? m'écris-tu, parce que tu t'es donnée trop tôt à moi ! As-tu pu le penser ? Jamais, jamais, quoi que tu fasses, quoi qu'il arrive ! Je te suis dévoué pour la vie, à toi, à ta fille, à ceux que tu voudras. C'est là un serment ; retiens-le, uses-en. Je le fais parce que je puis le tenir.

Oui je te désire et je pense à toi. Je t'aime plus que je ne t'aimais à Paris. Je ne puis plus rien faire ; toujours je te revois dans l'atelier, debout près de ton buste, les papillottes remuantes sur tes épaules blanches, ta robe bleue, ton bras, ton visage, que sais-je ? tout. Tiens ! maintenant la force me circule dans le sang. Il me semble que tu es là ; je suis en feu, mes nerfs vibrent... tu sais comment... tu sais quelle chaleur ont mes baisers.

Depuis que nous nous sommes dit que nous nous aimions, tu te demandes d'où vient ma réserve à ajouter «pour toujours». Pourquoi ? C'est que je devine l'avenir, moi ; c'est que sans cesse l'antithèse se dresse devant mes yeux. Je n'ai jamais vu un enfant sans penser qu'il deviendrait vieillard, ni un berceau sans songer à une tombe. La contemplation d'une femme nue me fait rêver à son squelette. C'est ce qui fait que les spectacles joyeux me rendent tristes, et que les spectacles tristes m'affectent peu. Je pleure trop en dedans pour verser des larmes au dehors ; une lecture m'émeut plus qu'un malheur réel. Quand j'avais une famille, j'ai souvent souhaité n'en avoir pas, pour être plus libre, pour aller vivre en Chine ou chez les sauvages. Maintenant que je n'en ai plus, je la regrette et je m'accroche aux murs où son ombre reste encore. D'autres seraient fiers de l'amour que tu me prodigues, leur vanité y boirait à l'aise, et leur égoïsme de mâle en serait flatté jusqu'en ses replis les plus intimes ; mais cela me fait défaillir le coeur de tristesse, quand les moments bouillants sont passés ; car je me dis : Elle m'aime et moi, qui l'aime aussi, je ne l'aime pas assez. Si elle ne m'avait pas connu, je lui aurais épargné toutes les larmes qu'elle verse ! Pardonne-moi ceci, pardonne-le moi au nom de tout ce que tu m'as fait goûter d'ivresse. Mais j'ai le pressentiment d'un malheur immense pour toi. J'ai peur que mes lettres ne soient découvertes, qu'on apprennne tout. Je suis malade de toi.

Tu crois que tu m'aimeras toujours, enfant : toujours ! quelle présomption dans une bouche humaine ! Tu as aimé déjà, n'est-ce pas, comme moi ; souviens-toi qu'autrefois aussi tu as dit toujours. Mais je te rudoie, je te chagrine. Tu sais que j'ai les caresses féroces. N'importe, j'aime mieux inquiéter ton bonheur maintenant que de l'exagérer froidement, comme ils font tous, pour que sa perte ensuite te fasse souffrir davantage... Qui sait ? tu me remercieras peut-être plus tard d'avoir eu le courage de n'être pas plus tendre. Ah ! si j'avais vécu à Paris, si tous les jours de ma vie avaient pu se passer près de toi, oui, je me laisserais aller à ce courant sans crier au secours. J'aurais trouvé en toi pour mon coeur, mon corps et ma tête, un assouvissement quotidien qui ne m'eût jamais lassé. Mais séparés, destinés à nous voir rarement, c'est affreux, quelle perspective ! et que faire pourtant... je ne conçois pas comment j'ai fait pour te quitter. C'est bien moi, cela ! C'est bien dans ma pitoyable nature ; tu ne m'aimerais pas, j'en mourrais, tu m'aimes et je suis à t'écrire de t'arrêter. Ma propre bêtise me dégoûte moi-même ; c'est que, de tous les côtés que je me retourne, je ne vois que malheur ! J'aurais voulu passer dans ta vie comme un frais ruisseau qui en eût rafraîchi les bords altérés, et non comme un torrent qui la ravage ; mon souvenir aurait fait tressaillir ta chair et sourire ton coeur. Ne me maudis jamais ! va, je t'aurai bien aimée, avant que je ne t'aime plus. Moi, je te bénirai toujours ; ton image me restera toute imbibée de poésie et de tendresse, comme l'était hier la nuit dans la vapeur laiteuse de son brouillard argenté.

Ce mois-ci je t'irai voir, je te resterai un grand jour entier. Avant quinze jours, douze même, je serai à toi. Que Phidias m'écrive, et j'accours ; c'est convenu. Est-il remis de sa colère, ce bon Phidias ? A-t-il compris le sens du cadeau ? Tâche de lui bien faire entendre que c'était pour le faire rire et rêver, et lui rendre un peu de satisfaction qu'il nous avait causée.

Tu veux que je t'envoie quelque chose de moi. Non, tu trouverais tout trop bien. Ne m'as-tu pas assez donné, sans y joindre tes éloges littéraires ? Tu veux donc achever de me rendre fat ! Et puis je n'ai rien de lisible ; tu ne t'y reconnaîtrais pas, au milieu des ratures et des renvois, n'ayant rien fait recopier. N'as-tu pas peur de te gâter le style en me fréquentant ? Tu voudrais que je publiasse quelque chose tout de suite ; tu m'exciterais ; tu finirais par faire que je me prendrais au sérieux (ce dont le ciel me garde !). Autrefois la plume courait sur mon papier avec vitesse ; elle y court aussi maintenant, mais elle le déchire. Je ne peux pas faire une phrase, je change de plume à toute minute, parce que je n'exprime rien de ce que je veux dire. Tu viendras à Rouen avec Phidias, tu feras semblant de m'y rencontrer et tu me feras une visite ici. Cela te satisfera mieux que toutes les descriptions possibles. Alors tu penseras à mon tapis et à la grande peau d'ours blanc sur laquelle je me couche dans le jour, comme moi je pense à ta lampe d'albâtre, quand je regardais sa lumière mourante onduler sur le plafond. Avais-tu compris, ce soir-là, que je m'étais donné ce terme ? Car je n'osais pas ; je suis timide, va, malgré mon cynisme, à cause de lui peut-être. Je m'étais dit : j'attendrai jusqu'à ce que la bougie soit éteinte. Oh ! quel oubli de tout ! quelle exclusion du reste du monde ! Comme elle était douce la peau de ton corps nu,... ! et quelle joie hypocrite je savourais, dans mon dépit, pendant que les autres étaient là et qu'ils ne s'en allaient pas ! Je me souviendrai toujours de l'air de ta tête quand tu étais à mes genoux, par terre, et de ton sourire ivre quand tu m'as ouvert la porte et que nous nous sommes quittés. Je suis descendu dans les ténèbres, sur la pointe du pied, comme un voleur. N'en étais-je pas un ? Et tous sont-ils aussi heureux, quand ils fuient chargés de leur butin ?

Je te dois une explication franche de moi-même, pour répondre à une page de ta lettre qui me fait voir les illusions que tu as sur mon compte. Il serait lâche à moi (et la lâcheté est un vice qui me dégoûte sous quelque face qu'il se montre) de les faire durer plus longtemps.

Le fonds de ma nature est, quoi qu'on dise, le saltimbanque. J'ai eu dans mon enfance et ma jeunesse un amour effréné des planches. J'aurais été peut-être un grand acteur, si le ciel m'avait fait naître plus pauvre. Encore maintenant, ce que j'aime par-dessus tout, c'est la forme, pourvu qu'elle soit belle et rien au delà. Les femmes qui ont le coeur trop ardent et l'esprit trop exclusif ne comprennent pas cette religion de la beauté, abstraction faite du sentiment. Il leur faut toujours une cause, un but. Moi, j'admire autant le clinquant que l'or. La poésie du clinquant est même supérieure en ce qu'elle est triste. Il n'y a pour moi dans le monde que les beaux vers, les phrases bien tournées, harmonieuses, chantantes, les beaux couchers de soleil, les clairs de lune, les tableaux colorés, les marbres antiques et les têtes accentuées. Au delà, rien. J'aurais mieux aimé être Talma que Mirabeau, parce qu'il a vécu dans une sphère de beauté plus pure. Les oiseaux en cage me font tout autant pitié que les peuples en esclavage. De toute la politique, il n'y a qu'une chose que je comprenne, c'est l'émeute. Fataliste comme un Turc, je crois que tout ce que nous pouvons faire pour le progrès de l'humanité ou rien, c'est absolument la même chose. Quant à ce progrès, j'ai l'entendement obtus pour les idées peu claires. Tout ce qui appartient à ce langage m'assomme démesurément. Je déteste assez la tyrannie moderne parce qu'elle paraît bête, faible et timide d'elle-même, mais j'ai un culte profond pour la tyrannie antique que je regarde comme la plus belle manifestation de l'homme qui ait été. Je suis avant tout l'homme de la fantaisie, du caprice, du décousu. J'ai songé longtemps et très sérieusement (ne va pas rire, c'est le souvenir de mes plus belles heures) à aller me faire renégat à Smyrne. A quelque jour j'irai vivre loin d'ici, et l'on n'entendra plus parler de moi. Quant à ce qui d'ordinaire touche les hommes de plus près, et ce qui pour moi est secondaire, en fait d'amour physique, je l'ai toujours séparé de l'autre. Je t'ai vu railler cela l'autre jour à propos de B***, c'était mon histoire. Tu es bien la seule femme que j'ai aimée et que j'ai eue. Jusqu'alors j'allais calmerr sur d'autres les désirs donnés par d'autres. Tu m'as fait mentir à mon système, à mon coeur, à ma nature peut-être, qui, incomplète d'elle-même, cherche toujours l'incomplet.

J'en ai aimé une depuis quatorze ans jusqu'à vingt sans le lui dire, sans la toucher ; et j'ai été près de trois ans ensuite sans sentir mon sexe. J'ai cru un moment que je mourrais ainsi, j'en remerciais le Ciel. Je voudrais n'avoir ni corps ni coeur, ou plutôt je voudrais être crevé, car la mine que je fais ici-bas est d'un ridicule exagéré. C'est là ce qui me rend défiant et timide de moi-même.

Tu es la seule à qui j'aie osé vouloir plaire et peut-être la seule à qui j'ai plu. Merci, merci. Mais me comprendras-tu jusqu'au bout, supporteras-tu le poids de mon ennui, mes caprices, mes abattements et mes retours emportés ? Tu me dis par exemple de t'écrire tous les jours, et si je ne le fais, tu vas m'accuser. Eh bien, l'idée que tu veux une lettre chaque matin m'empêchera de le faire. Laisse-moi t'aimer à ma guise, à la mode de mon être, avec ce que tu appelles mon originalité. Ne me force à rien, je ferai tout. Comprends-moi et ne m'accuse pas. Si je te jugeais légère et niaise comme les autres femmes, je te paierais de mots, de promesses, de serments. Qu'est-ce que cela me coûterait ? Mais j'aime mieux rester en dessous qu'au-dessus de la vérité de mon coeur.

Les Numides, dit Hérodote, ont une coutume étrange. On leur brûle tout petits la peau du crâne avec des charbons, pour qu'ils soient ensuite moins sensibles à l'action du soleil qui est dévorante dans leurs pays. Aussi sont-ils, de tous les peuples de la terre, ceux qui se portent le mieux. Songe que j'ai été élevé à la Numide. N'avait-on pas beau jeu à leur dire : «Vous ne sentez rien, le soleil même ne vous chauffe pas». Oh ! n'aie pas peur : pour avoir du cal au coeur il n'en est pas moins bon. Eh bien non ! En me sondant, je ne me trouve pas meilleur que mon voisin. J'ai seulement assez de perspicacité et quelque délicatesse dans les manières. Voilà le soir qui vient. J'ai passé mon après-midi à t'écrire. A 18 ans, à mon retour du Midi, j'ai écrit pendant six mois des lettres pareilles à une femme que je n'aimais pas. C'était pour me forcer à l'aimer, pour faire du style sérieux, et ici c'est tout le contraire ; le parallélisme est accompli. Encore un dernier mot : j'ai à Paris un homme à mes ordres, dévoué jusqu'à la mort, actif, brave, intelligent, une grande et héroïque nature aux volontés de la mienne. En cas de besoin, compte sur lui comme sur moi. J'attends demain tes vers, dans quelques jours tes deux volumes. Adieu, pense à moi ; oui, embrasse ton bras. Tous les soirs ce sont tes oeuvres que je lis. J'y recherche des traces de toi-même, j'en trouve parfois.

Adieu, adieu ; je mets ma tête sur tes seins et je te regarde de bas en haut, comme une madone.

Adieu, je ferme ma lettre. C'est l'heure où, seul et pendant que tout dort, je tire le tiroir où sont mes trésors. Je contemple tes pantoufles, ton mouchoir, tes cheveux, ton portrait, je relis tes lettres, j'en respire l'odeur musquée. Si tu savais ce que je sens maintenant !... dans la nuit mon coeur se dilate et une rosée d'amour le pénètre !

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Flaubert - lettre a louise collet
Note morale : 10/10
À tomscrat, le 03 juillet 2007 00:30:26 : pour la qualité des interventions, et surtout depuis le temps qu'il est là ^^
Note morale : 10/10
À .sniperwolf., le 16 juin 2007 17:36:15 : sniper,

"J'aime beaucoup ce que vous faites"
Note morale : 10/10
À mimi_uragi, le 15 juin 2007 13:44:47 : mimi_uragi...

Sous ce pseudo se cache un bout de femme de 23 ans, inscrite depuis de nombreuses années sur france-jeunes...

Ses apports ? ses contributions ? mimi, (et je parle en notre nom à tous) a toujours sû concilier humour et intelligence, respect des idées et flie des grandeurs, culture implacable et liberté de l'instant. Cela va sans dire que cette fille déborde de bon sens et d'ingéniosité ! il n'y parait pourtant pas au premier abord, avec ses lunettes ovales et sa veste en daim, mais je peux vous promettre que les apparences sont trompeuses... SURTOUT pour mimi.

Ce n'est plus au membre mimi que j'écris cette dédicasse, mais à la Major Geek du test innergeek !! 40.7197% de geekitude tandis que moi-même gros beauf geek n'ait établi que 30 et quelques % ! c'est énorme, c'est formidable, c'est exceptionnel : en un mot, c'est mimi. ( on dirait une pub pour du lave-vaisselle ) Ce score à lui tout seul impose le respect et l'humilité de chaque personne inscrite sur ce site... Tant de sagesse, de retenue : d'affection en somme ! Moi ça me touche.

Ce n'est plus à la femme de 23 ans qui habite quelquepart en France que j'écris, mais à la personne qui savait d'ou venait la terrible réplique de fear and loathing at Las Vegas : "les bisexuels auront ma peau" !! Avec son air de pas y toucher, mimi représente le triomphe du savoir absolu, de la pluralité de la culture, de la quintessence du vrai, du juste, du bien.

Pour reprendre les paroles de CSS ;



From all the drugs the one i like more is mimi
From all the junks the one i need more is mimi
From all the boys the one i take home is mimi
From all the ladies the one i kiss
is mimi (muah!)

Mimi is my boyfriend
Mimi is my girlfriend
Mimi is my dead end
Mimi my imaginary friend
Mimi is my brother
Mimi is my great-grand-daughter
Mimi is my sister
Mimi is my favorite mistress !

From all the shit the one i gotta buy is Mimi !
From all the jobs the one i choose is Mimi
From all the drinks i get drunk off Mimi
From all the bitches the one i wannabe is Mimi !

Mimi is my beach house
Mimi is my hometown
Mimi is my kingsize bed
Mimi's where I meet my friends
Mimi is my hot hot bath
Mimi is my hot hot sex
Mimi is my back rub
My Mimi is where i'd like you to touch !

(f)(f)(f)
Note morale : 10/10
À spriklin, le 19 février 2007 15:09:29 : Spriklin,

Un admin nommé désir :)
Note morale : 10/10
À laulo, le 18 février 2007 02:30:14 : Au bon sens incarné.
Note morale : 10/10
À beauf de france, le 19 décembre 2006 21:44:54 : humpf,

Au beauf le plus connu de toute la France.

Longue vie à cette éspèce rare, et pourtant si attachante.
Note morale : 10/10
À franco, le 28 novembre 2006 00:19:42 : Au pur lover.
Note morale : 10/10
À banzaii, le 26 novembre 2006 01:14:11 : Tiens t'étais partie toi ?

(bravo blaireau... t'es vraiment dans le feu de l'action...)

bon, ben rebienvenue, fais comme chez toi : tu veux un coca ?
Note morale : 10/10
À ptit sucre, le 08 novembre 2006 20:25:13 : petit sucre...

ptet a un de ces jours dans un café.
Note morale : 10/10
À lunatiquement_cerise, le 24 juin 2006 01:52:46 : Je te déteste.
Note morale : 10/10
À himura29, le 09 janvier 2006 17:19:15 : himura,

Yo kan né manenon choko,
die bendit hunfu, un krechochen
Toyoundasl koyou, lokak modem

ROJO PONG :
Note morale : 10/10
À message_sender, le 11 novembre 2005 13:53:24 : Merci beaucoup pour tous tes messages, c'est trés sympa de ta part :)

on t'apprécie tous ! :p
Note morale : 10/10
À mooa, le 24 octobre 2005 23:28:57 : 136 dédicasses !!!

!!!


137 maintenant ! :)

Bah félicitations, je crois que c'est un recod, meme sur tube je ne pense pas qu'il y ai un membre comme toi : encore bravo, je suis sur le cul...
Note morale : 10/10
À désirée_de_somnambulie, le 13 mars 2005 15:08:47 : Désirée de somnambulie.

Ce nom me laisse réveur :) je ne l'ai jamais vraiment compris, et je ne sais pas trop ce qu'il veut dire non plus. Ce pseudonyme suscite un vif interet et fait jaillir de ma plus profonde curiosité des questions existencielles.

désirée, je pense que tu dois l'etre.
Somnambulie, ca reste a voir :)
Note morale : 10/10
À miche, le 26 février 2005 02:44:36 : HASTA SIEMPRE !

QUE VIVA LA REVOLUCION !!

YEP YEP !!
Note morale : 10/10
À marilyn, le 24 février 2005 03:21:43 : une dédicasse (la première meme pour toi), entre vieux membres, on s'entraide :D


une dédicasse fraternelle pour cet ancien administrateur, qui a toujours su tirer profit des pires décisions... ca le fait hein ? :D

longue vie a toi.
Note morale : 10/10
À jacquesv, le 21 décembre 2004 17:20:32 : allez, au nom de la fraternité inter-admin :)

J'espere cependant que nous resterons vivants suffisament longtemps afin de nous occuper correctement de ce site :D

(f) France-jeunes For Life (f) MOUHAHAHAHAHAHA
Note morale : 10/10
À romounch, le 21 décembre 2004 16:59:30 : "romounch"... derriere ce pseudo enigmatique se cache en fait l'immaculé, le sournois, le tragique :)

romounch est en réalité un personnage inquiétant. Pillier du site france-jeunes, il participe activement aux débats et n'hésite pas a plancher sur des questions les plus sérieuses

"pour ou contre la sodomie"
"alcool / Viagra : memes dégats ?"

Romounch est reconnu sur le site pour son style tranchant et pour la pertinence de ses propos. C'est pour cette raison que je lève mon verre bien haut.

yurk yurk :)
Note morale : 10/10
À rafcloup, le 11 décembre 2004 16:48:31 : HAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHHA

Le meilleur de France-jeunes.
Note morale : 10/10
À âme solitaire, le 20 septembre 2004 16:40:53 : Je te remmercie de ta franchise, de ton honneté, de ta maturité, de ta gentillesse, de ton bon sens, de tes engagements, de ta bonne foi, de ta compréhension et de toutes tes qualités encore inexploitées jusqu'a présent...

pour les défauts, on verra ca une autre fois :D
Note morale : 10/10
À knakou, le 09 janvier 2006 17:17:41 : tu crains
Note morale : 5/10
À stratosfear, le 20 juin 2007 00:58:23 : En éspérant sincèrement que tu t'en ailles un jour.
Note morale : 1/10