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Les horreurs du christianisme

Voilà pourquoi la religion chrétienne est une mauvaise religion (pour ne pas dire de mots plus insultants), sans satanisme, sans magie noire, seulement à travers les faits historiques, des faits rien que des faits ! Antisémitisme chrétien, chasse aux sorcières, martyrs, rapport avec les politiques extrèmes , pédophilie etc...


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Je tiens à préciser que les faits relatés ici ne vont à l'encontre d'aucune croyance mais contre une secte mondiale qui à travers son histoire à perpétré plus de morts que le cancer, la peste et le sida réunis. "Reign of the cross to deception, has killed more people than cancer" DEICIDE. Ici ce sont dis que les faits réels !

Sources de cet article : l'exellent site www.ozone.ch/private que je remercie de m'avoir laissé prendre des bribes de son travail et que je vous invite à visiter.


Tout d'abord le plan de ce long article :

-Naissance du gourou et sa vie, la création de la secte, son culte
-La puissance de la secte, son age d'or
-Les méfaits : Autodafé (an 50), martyrs, l'antisémitisme chrétien, destruction d'autres temples et statues d'autres cultes,
-Moyen age chrétien : croisades, converstions au christianisme de force et guerres, inquisition
-Devenir chanteur chrétien (pas si marrant que ca)
-Fait divers de 1766
-Kant et la censure
-L'Eglise et les dictatures (20° siècle) grosse partie
-Quiproquo et partie pour rétablir la vérité au sujet du pape et du sida (pour une fois quelque chose pas contre eux dans cet article...)
-Guerre de religion en Yougoslavie
-Les pretres et les viols ou pédophilisme (très très très grave et inomable de montruosité, le pire de tous leurs crimes d'après moi)


Naissance du gourou et sa vie, la création de la secte

La secte a été créé par un juif du nom de Jésus dont la mère ne fut pas fécondée par son mari et serait restée vierge (malgrès deux autres enfants qu'elle eut et qui furent 2 des disciples de l'ainé...). Autour de ceci des légendes sont apparues telles que la fécondation de cette probable femme adultère ou péripatéticienne par un ange venu de la part de Dieu (Jéhova pour les juifs, Alla pour les arabes car et oui... Les Arabes reconnissent Jésus sous un autre nom). Cet homme a une vie peu connu car durant des dizaines d'années rien n'est relaté sur lui, ni par ses disciple ni par d'autres sources. On ne lui connais aucune femme ni aucune petite amie (de quoi le rendre peut etre dérangé mental...) et comme le disais glen benton le chanteur de deicide si justement : "un gars qui se balade avec 12 gars à son cul ne peut etre que homosexuel". Ce jésus très inspiré de la Tora (mais mal comprise) n'a rien écrit, il a inspiré des pensées à ses disciples qui écrivirent l'évangile selon leur interprétation. Au cours de sa vie il fit preuve d'originalité et d'un discours pour le moins avant gardiste très proche du marxisme (partage des richesses, égalité des hommes etc...) et pour étayer ses dires d'actes il fit de nombreux tours de prestidigitation pour épater la galerie et comme les gourous actuels apater le candide et ralier les foules crédules. Comme tout bon prophète il lui fallait une mort de martyr, il fut crucifié comme telle était sa volonté (il l'avait dis à ses disciples) mais comme un humain de base sur la croix il implora "Donnez moi à boire", ah il est beau le fils de Dieu.
A travers les ages le culte de ce Jésus n'eut aucun égal en nombre, des milliards de milliards l'ont adoré comme un Dieu. Imaginez de nos jours un homme qui dis des choses bizares, dont la mère n'a pas été fécondée par un père connu et qui se dis fils d'un Dieu, le croirez vous simplment parce qu'il parle bien et qu'il fait des tours de passe passe ? Non ? mais alors pourquoi croire en Jésus ? Et si oui, pourquoi ne pas croire en Raël ?


La puissance de la secte, son age d'or

Il n'empeche que son cas ralia les foules au points que les gens ne reniaient pas leur cultes au point de devenir à leurs tours des martyrs (envoyés au lions, torturés). Ensuite la secte pris une ampleur plus grande pour enfin avoir el pouvoir à travers plus de 20 sciècles dans certains pays. Cela créa un engoument tel que des envies coloniales d'imposer la croyance en ce Dieu (dont le nom à l'origine était ineffable et indicible) et de son soi disant fils. Puis la secte pris le pouvoir, le vrai, recréant la terreur dont elle a été victime les premiers temps l'inquisition fut créée, à la recherche des sorcières (qui a l'époque étaient des sortes de médecins oméopathiques), magiciens, hérétiques, non croyants etc... Est il besoiin de préciser encore les cas de ces grands scientifiques qui disaient que la terre était ronde et tournait sur elle même et autour du soleil punis d'hérésie pour ne pas coroborer les faits tenus pour vrais de la part du culte chrétrien ? A savoir aussi que ces faits étaient accepté et démontrés depuis la grèce antique mais réfutés par la religion au nom de Dieu le tout puissant omniscient... Les vrais médecins sont aussi torturés pour avouer leur soi disant culte à satan pour avoir ouvert des cadavres afin de vérifier que l'anatomie de l'homme est bien ce qu'ils croient : completement contraire à ce que disent les religieux. Le pouvoir Chrétien dans sa grande charité ira aussi pillier et tuer au nom de Dieu et se livreront à des guerres plus sanglantes les unes que les autres.
La secte accumulera une source inestimable d'or et de richesse grace à ses pillages, aux dons des fidèles, aux impots mais aussi car le paradis n'était réservé qu'à ceux qui donneront à la secte (les gens mourraient avec une mièce d'or dans la bouche et les poches vides...)


Méfaits :

Autodafés
Comme les nazis l'ont fait 1900 ans plus tard après eux, les chefs chrétiens de l'an 50 ont perpétrés le premier autodafé d'une ampleurs très très importante, niant les autres croyances, n'ayant aucune tolérance envers les autres dieux et autres mythologies ils brulaient tout ce qui n'allait pas dans leur sens. De cette intolérance naitra les foudres du pouvoir Romain qui avait pour but de garder le polythéisme romain, les chrétiens veulent interdire toput culte de plusieurs dieux, ils sont donc les ennemis des romains. De ce fait les chrétiens se font martyr, facile de se jeter sous les roues d'une voitures et de dire que la voiture a essayé de nosu écraser et d'ensuite indigner l'opignon...
Martyrs
Commence alors une sombre mascarade qui fait un peu come de nos jours avec les islamnistes intégristes, que sion meurs on sera vénéré ce qui n'ets pas faux, les ossements de martyrs chrétiens sont bien conservés et vénérées dans des lieux de cultes (source : Monastère Saint Maurice dans la ville Suisse de Saint maurice). Alors c'est à celui qui aura la mort la plus affreuse qui mourra le plus heureux. MAis cet exemple n'en est un parmis tant d'autres dont je ne vais pas vous assomer car vous avez compris le principe...


L'antisémitisme chrétien (début en 309)

Tout d'abord soulignons l'absurdité pour une religion issue du judaisme et dont le prophète a été juif et inspiré par la Tora d'etre antisémite...
Le premier concile et la codification de l'antisémitisme chrétien : 19 évêques et 24 prêtres se réunissent à Elvira, dans le Sud de l'Espagne, et fixent les premiers canons de l'église qui soient parvenus jusqu'à nous. Ces canons prévoient des peines sévères pour une série de "péchés". Pour certains, comme le divorce, et l'adoration de dieux autres que le dieu chrétien (l'idolâtrie) l'expulsion définitive de l'église est prévue. Pour les péchés moins graves, la punition est l'exclusion de la communion pour des périodes allant jusqu'à 10 ans. Parmi les délits punissables d'excommunications de plusieurs années, l'on trouve, entres autres : laisser bénir sa récolte par un juif ou partager un repas avec un juif. Le concile jette ainsi les bases dans le droit canon de l'antisémitisme chrétien, dont les effets dévastateurs se déploieront en force dès le IVè siècle et dureront jusqu'au XXè siècle.
C'est également à ce concile que les prélats chrétiens décident officiellement que tout chrétien mis à mort pour participation à des destructions de temples ou de statues de déités non chrétiennes a droit au titre - évidemment posthume - de martyr.
Hors des conciles également, les leaders chrétiens prendront très vitre des positions très dures à l'égard des Juifs. Origène, le fondateur du mouvement monastique égyptien, écrira que "Le sang de Jésus retombe non seulement sur les Juifs de l'époque mais sur toutes les générations de Juifs jusqu'à la fin du monde". Son contemporain Saint Jean Chrysostome écrira lui pour sa part "La synagogue est un bordel, une tanière de bêtes impures (...) jamais un juif n'a prié Dieu. (...) Ils sont posédés des démons".
315 : Première loi antisémite dans l'empire christianisé : le prosélytisme juif est interdit, sous peine de mise à mort sur le bûcher. Les mises à mort sur le bûcher sont une passion que les chrétiens cultiveront pendant plus de 1'500 ans de leur histoire.
1234 - L'invention de l'étoile jaune
Le concile d'Arles décide d'introduire l'"obligation pour les juif de porter sur eux des signes distinctifs". Avec une avance de plus de 500 ans sur les administrations douanières suisses et suédoises (qui demanderont en 1938 aux allemands d'apposer un "J" sur le passeport des juifs allemands), et sur l'administration nazie (qui fera sienne l'invention de l'étoile jaune obligatoire), l'église catholique invente ainsi le concept d'apposer une marque sur les personnes à persécuter. Il faut dire que cette invention chrétienne sera peu appliquée. Mais elle permet de relancer l'antisémitisme en Europe, dont les conséquences seront dès 1391 tragiques.


Destruction de temples et statues d'autres cultes

401 : Saint Augustin, évêque de Carthage, Docteur de l'Eglise, est considéré comme le plus grand penseur de l'église antique, et sa Théorie de la guerre juste servira plus tard à justifier les croisades. Mais l'église a soin aujourd'hui d'être très discrète sur l'oeuvre de destruction de temples et statues à laquelle le saint consacra de son vivant tant d'énergie. Dès 399, l'on commence à Carthage à détruire temples et statues païennes. Saint Augustin applaudit. Constatant que l'enthousiasme destructeur de la populace catholique risque de faiblir, en juin 401, Saint Augustin emploie l'humour (chose rare dans l'histoire chrétienne), au cours d'une messe dominicale, pour relancer la folie destructrice : "Il est écrit Herculi Deo au pied d'une statue d'Hercule. Mais pourquoi ne parle-t-il pas ? Il est aussi muet que son épitaphe". La foule des croyants rigole. Saint Augustin lance alors "A Rome, les temples sont fermés, les idoles détruites ! Comme à Rome, ainsi à Carthage". Des bandes de catholiques enragés se lancent alors à l'assaut des statues et temples encore debout en ville et les détruisent.
401 : Les émeutes de Calama : enivré par son succès à Carthage, Saint Augustin exige la destruction de temples et statues aussi dans les villes de province. Peu à peu la parole du saint homme se répand dans l'Afrique du Nord, et des hordes de chrétiens se lancent à l'assaut des temples et des statues. A Calama (aujourd'hui Guelma en Algérie), une émeute éclate lorsque les chrétiens s'attaquent au temple d'Hercule : 60 personnes, chrétiens et païens, meurent dans la bagarre.


Moyen age chrétien

Les croisades

Elles ont pour but de "libérer" le tombeau du christ au pris de la guerre. Inutile de dire que cela créa de nombreuyses victimes, sur leur passage les croisés pillaient, violaient et tuaient tout ce qu'ils voulaient (pas dur face à un peuple européen docil et désarmé). Environ 70 000 civils (donc qui n'avaient aucun rapport avec ce conflit) massacrés. A jérusalem inutil de dire qu les chrétiens n'héistent pas à entrer dans les mosquées et synagogues pour tuer tous ceux qui auraient put se mettre en travers de leur passage.
4 croisades, toutes pareilles avec leur cortège de morts, de sang, d'e souffrances et de viols. Est ikl util de tout réexpliquer et de vous mettre des mots sur ces toujoutrs semblables horreurs ?
Converstions de force
Grégoire I, dit Le Grand, aujourd'hui Saint Grégoire, devient Pape. Il est considéré comme l'inventeur de la croisade. En effet, il envoie à Gennadius, gouverneur d'Afrique pour l'Empire Romain d'Orient, une longue lettre l'incitant à "engager de nombreuses guerres" ayant pour but de convertir de force au christianisme les populations des terre conquises. Saint Grégoire s'occupe aussi activement de la conversion des juifs au christianisme, en leur offrant des avantages financiers.
A savoir aussi que l'inquisition est une sorte d'obligation au culte chrétien, il ets interdit de croire en autre chose, il est même interdit de lire à un moment ou de posséder un des livres de l'ancien testament (encore là antisémitisme). Qu'est ce que l'inquisition ? une sorte de mode qui consiste à bruler les gens qui ne pensent pas comme l'ordre établi (elle est belle la conception de respect du prophète fils de Marie et de père inconnu...). Alors combien de gens ont été brulés ? Environ 1 million de sorcières ou hérétiques au cours du moyen age. La religion domine la société et y impose son bon vouloir, ses règles, ses impots etc...
A cette occasion a été créé le premier livre de poche pour les inquisiteurs : le malleus maleficarum ("le marteau des sorcières" en France) qui décrit comment torturer une sorcière, non croyant, ou croyant d'une autr confession que chrétienne. Ce livre fut crit par deux dominicains Allemands Jakob Sprenger, Doyen de l'université de Cologne, et Heinrich Institoris (Kraemer de son vraix nom), professeur de théologie à l'université de Salzburg. Elle est pas belle la littérature chrétienne moyen ageuse ?
Fin de l'inquisition avec le dernier buché humain : 1826
L'église ne reniera jamais l'inquisition, et garantira la continuité historique de l'institution jusqu'à nos jours, en se limitant à en modifier le nom : il faudra attendre Pie X, en 1906, pour que le "Saint office de l'inquisition" soit renommé "Saint Office", et 1965 pour que le dit office soit rebaptisé "Congrégation pour la doctrine de la foi". Enfin, en 1997, le pape ouvre les archives du Saint Office, et des historiens triés sur le volet sont autorisés à y mener des recherches. Les estimations du nombre total de victimes de l'inquisition sont fortement revues à la hausse, le consensus tourne aujourd'hui autours du 1 000 000 exécutées, auxquelles il faut ajouter d'innombrables personnes torturées et dont les biens ont étés saisis.
Les inquisiteurs dans leur quete perpétuelle d'horreur allaient jusqu'à déterrer les cadavres d'hérétiques cathares pour les bruler... Post mortem crémation. Ils vont en chercher e ces trucs les inquisiteurs, aumoins on peutpas leur reprocher de ne pas avoir d'imagination fertile dans le gore.
Ah j'ai oublié de vous dire, au moyen age pour un homme de 14 ans, une fille de 12 puis l'age pou les deux passa à 7 ans, vous pouviez etre jugé hérétique... Toi enfant qui joue à la marelle et qui a hélas fait un semblant de croix inversé ou qui a dessiné sur ton devoir pou offrir à ta maman une crois inversée ou un pentagramme inversé et qui ne sais pas ce que c'ets tu aurait fini sur un buché, super non ?

Je vais passer rapidos en ne faisant que d'évoquer la colonisation de l'Amérique par les disciples du Christ... : -/


Devenir chanteur chrétien ?

Il faut savoir que les femmes n'ont pas le droit de chanter dans le coeur des églises et qu'il fait bien des sopranos et ben on castre les jeunes gens avant leur puberté afin qu'ils gardent leur timbre clair et féminin. Pour louer Dieu il faut chanter, mais de belles chansons, et que des baritons ou basse ça ne va pas, il faut du haut, du divin, du féminin, ça devait valoir le coup de castrer un jeun homme et de le priver de son identité d'homme pour en faire un... rien, mais à la gloire de Dieu.
Fin officielle de cette pratique : 1878 (je dis officielle cr vien sur cela continua un peu quand meme...)


Fait divers de 1766 :

En plein siècle des lumières, un jeune homme de 19 ans, le Chevalier de la Barre passe "à vingt pas d'une procession sans ôter son chapeau". Il est arrèté, soumis à la torture. Enfin, il est décapité, après qu'on lui ait coupé la langue. Son corps est alors placé sur un bûcher et brûlé ensemble avec un exemplaire du "Dictionnaire Philosophique" de Voltaire devant une foule enthousiaste.


Kant et la censure :

1793 : Kant, professeur de philosophie à Königsberg et "star" internationale de la philosophie moderne depuis la publication de "Kritik der reinen Vernunft" publie "Die Religion innerhalb der Grenzen der bloßen Vernuft" ("La religion dans les limites de la seule raison"), où il met les doctrines chrétiennes à l'épreuve de la raison et du "kategorische Imperativ". C'en est trop pour le pieux roi de Prusse. Poussé par des prélats protestants, il intervient et Kant est forcé de se rétracter publiquement sous peine de licenciement immédiat de son poste de professeur de l'université de Königsberg. Un à un, les autres professeurs de l'université doivent signer, sous peine de licenciement immédiat, un document où ils s'engagent à ne pas citer dans leur enseignement des écrits de Kant ayant trait à la religion. Comme dans le cas de Galilée, la renommée internationale de Kant le sauve de conséquences plus sévères. Kant songera à s'exiler, mais il est en cette fin de siècle peu de cieux cléments pour les penseurs qui osent critiquer des aspects de l'idéologie chrétienne : il finira donc la vie à Königsberg.


L'Eglise et les dictatures :

1918-1945
Le parti pris pour les dictatures. L'église soutient activement la montée des totalitarismes en Europe, puis défend leurs crimes dans plusieurs cas, et renonce à les dénoncer dans d'autres.
En Autriche, le soutient de l'église catholique pour l'Austrofascisme est total.
En Italie, le Vatican signe avec le régime fasciste un concordat, qui fait du catholicisme la religion d'état : les italiens peuvent à nouveau voter sans être excommuniés, dommage que cela serve peu en période de dictature. L'église sacrifie en grande partie ses propres associations : toutes, sauf l'Action Catholique, doivent intégrer des organisations fascistes. Le Vatican promet à Mussolini de faire en sorte que l'Action Catholique ne se laisse pas tenter par des actions antifascistes.
En 1929, Mussolini ayant signé le concordat dit "Patti Lateranensi", il est qualifié par le pape d'homme de la providence ("Uomo della provvidenza"). En'32, l'Action Catholique ayant été remise au pas par la hiérarchie ecclésiastique, conformément aux voeux du dictateur, Mussolini reçoit des mains du Pape l'Ordre de l'éperon d'or, qui est la plus haute distinction que l'Etat du Vatican accorde.
Cette belle harmonie résistera même à un moment de tension causée par la statue de Giordano Bruno. Le pape profite du concordat pour demander à son ami dictateur de détruire la statue de cette célèbre victime de l'inquisition, érigée en 1889 par le gouvernement libéral. Le dictateur, dont un des fils se prénomme Bruno, en honneur du penseur victime de l'inquisition, prend la défense, une fois n'est pas coutume, du libre penseur, et déclarera à la chambre des députés "La statue de Giordano Bruno, mélancolique comme le destin de ce moine, restera où elle est. J'ai l'impression que ce serait s'acharner contre ce philosophe qui, s'il s'est trompé et a persisté dans l'erreur, a cependant payé". Pour montrer qu'elle ne regrette rien, l'église canonisera alors Roberto Bellarmino, accusateur de Giordano Bruno et le nommera même "Docteur de l'Eglise". Jamais l'église ne reconnaîtra une quelconque erreur de sa part concernant Bruno, ou n'exprimera une quelconque intention de le réhabiliter.
En Allemagne, en janvier 1933, le Zentrum, parti catholique, dont le leader est un prélat catholique (Prälat Kaas), vote les pleins pouvoirs à Hitler : ce dernier peut ainsi atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag pour suspendre les droits garantis par la constitution. Avec une charité toute chrétienne, le bon prélat et ses ouailles du Zentrum accepte aussi de fermer un oeil sur les détails procéduriers discutables des nazis, comme l'arrestation des députés communistes avant le vote. Puis l'église commence à négocier un nouveau concordat avec l'Allemagne : dans ce cadre, elle "sacrifie" le Zentrum, alors seul parti significatif que les nazis n'ont pas interdit : en effet, il les a aidés à arriver au pouvoir. Le 5 juillet 1933, le Zentrum s'autodissous sur demande de la hiérarchie catholique, laissant le champ libre au NSDAP de Hitler, désormais parti unique.
Le prélat Kaas laisse les compatriotes se débrouiller avec la dictature qu'il a aidé à installer, et s'installe au Vatican, ou il entame une nouvelle carrière : alors que le monde s'embrase, Monseigneur Kaas, désormais évèque, dirigera des fouilles sous la Basilique de Saint Pierre qui aboutiront à la découverte du 2è crâne de Saint Pierre.
Hitler se proclame catholique dans "Mein Kampf", l'ouvrage où il annonce son programme politique. Il y affirme aussi qu'il est convaincu qu'il est un "instrument de Dieu". L'Eglise catholique ne mettra jamais "Mein Kampf" à l'Index, même avant l'accession de Hitler au pouvoir. Il faut croire que le programme antisémite du futur chancelier ne déplaisait pas à l'église. Hitler montrera sa reconnaissance en rendant obligatoire la prière à Jésus dans l'école publique allemande, et en réintroduisant la phrase "Gott mit uns" sur les uniformes de l'armée allemande.
En 1938, les SS et SA organisent la "Nuit de Cristal" : déguisés en civils, les miliciens nazis attaquent synagogues et magasins appartenant à des juifs. La population allemande est à la fois horrifiée et terrifiée. L'évêque de Freiburg, Monseigneur Gröber, déclare alors, en réponse à des questions sur les lois raciales et les pogroms de la nuit de cristal : "On ne peut refuser à quiconque le droit de sauvegarder la pureté de sa race et d'élaborer les mesures nécessaires à cette fin."
En Espagne, la république est établie en avril 1931, suite à la faillite de la dictature conservatrice de Miguel Primo de Riviera. Tout de suite, l'église catholique déclare la guerre à la démocratie : le 7 mai 1931, l'archevêque de Toledo, le Cardinal Pedro Segura publie une pastorale invitant les fidèles à prendre les armes contre la république. En réaction à cet appel public à la guerre civile, le 11 mai, des foules furieuses incendient plusieurs églises, et l'Eglise catholique accède ainsi au rang de "martyr" de la république, ce qui lui permettra de justifier son rôle dans la guerre civile. En effet, en 1935, un quarteron de généraux conservateurs tentent un coup d'état militaire, qui échoue et dégénère en guerre civile. L'église soutient la rébellion, prêtres et évêques bénissent les canons des insurgés dirigés par Franco, célèbrent en grande pompe des Te Deum pour ses victoires contre les forces du gouvernement républicain légitime. La guerre fait plus d'un million de morts, et Franco fait fusiller les prisonniers. On estime que au moins 200'000 personnes sont fusillées pendant la guerre, et 200'000 après. L'église soutient non seulement la guerre, mais aussi les exécutions de prisonniers. A quelques mois du début du conflit l'aviation allemande et nationaliste détruit Guernica. face à ce massacre, certains catholiques commencent à douter de la sainteté de la cause nationaliste. L'église vient donc au secours de Franco : non seulement elle justifie encore une fois la guerre, mais la hiérarchie catholique prend position officiellement pour les exécutions de prisonniers : une lettre, signée par deux cardinaux, six archevêques, 35 évêques et 5 vicaires généraux (la quasi-totalité de l'épiscopat espagnol), est adressée "à tous les évêques du monde". Elle définit la guerre civile comme étant une croisade et un plébiscite armé. Les signataires se réjouissent des exécutions de prisonniers car au moment de l'exécution, l'exécuté se réconcilie avec Dieu. Le 28 septembre 36, le Primat d'Espagne, l'archevêque de Toledo Isidro Gomà, lance un message de soutient aux nationalistes qui combattent à Toledo. Il les encouragent, dit-il, car ils se battent contre "ces maudits fils de Moscou, les juifs et les francs-maçons, les sociétés occultes contrôlées par l'internationale sémitique".
Dans le monde entier, l'église catholique se mobilise pour soutenir Franco contre la république. Les évêques allemands publient le 19 août 1936 une pastorale collective qui approuve l'aide apportée par Hitler à Franco. Aux USA, les catholiques réussissent à bloquer toute aide à la république. Roosevelt renonce à soutenir la république pour ne pas perdre les votes des catholiques. Le Pape proclame officiellement "martyr" toute personne tuée par les républicains, et reconnaît Franco dès 1937 (la guerre est alors en cours, et se prolongera jusqu'en 1939), en envoyant un délégué apostolique auprès de Franco, puis le 18 mai 1938 en nommant l'archevêque Gaetano Cicognani Nonce Apostolique, alors que Franco envoie un ambassadeur au Vatican. L'archevêque de Westmister écrit à Franco en 1938 "Vous êtes à mes yeux le plus grand défenseur de la vraie Espagne, le pays du catholicisme". Le Pape Pie XII salue la victoire finale de Franco en publiant un message intitulé "Avec immense joie".
Franco se montrera reconnaissant envers ses pieux alliés, en confiant l'éducation nationale à l'église catholique. Chaque citoyen est muni d'un "livret", où sont annotés ses options politiques et religieuses : il se crée un système avec deux classes de citoyens, et l'église a le mot de la fin quant à la classe de chacun. Puis, Franco nomme plusieurs membres de l'Opus Dei au gouvernement. L'influence de l'Opus Dei croîtra, au cours de la dictature Franquiste, au point où, dans le dernier gouvernement Franquiste, plus de la moitié des ministres seront membres de cette vénérable institution catholique.
Beaucoup plus tard, en mars 2001, le pape Jean-Paul II béatifiera 233 religieux martyrs des la guerre civile espagnole, en les présenants comme des victimes du terrorisme, faisant un parallèle explicite entre le gouvernement Espagnol de 1936-1939 et l'ETA de l'an 2001.
En France, l'église déclare dès 1940 que "Pétain, c'est la France" : elle préfère en effet le Travail-Famille-Patrie de l'Etat Français aux Liberté-Egalité-Fraternité de la République, qui l'ont toujours horrifiée.
Au cours de la 2è guerre mondiale, le Vatican est au courant des exterminations de juifs par les nazis. On saura après la guerre que le pape a hésité à lancer un appel public, à plusieurs reprises, mais s'est finalement abstenu de le faire, essentiellement car il est communistophobe, et pense qu'une victoire russe serait "pire". En 1942, il pleure par contre parmi les ruines de Rome bombardée et condamne les bombardements alliés. Hélas, il oublie de mentionner que son allié politique Mussolini avait sollicité auprès d'Hitler "l'honneur de participer aux bombardements sur Londres" - il est vrai que le pape n'habite pas à Londres...
En avril 1941, les allemands envahissent la Yugoslavie. Un fanatique catholique, Ante Palevic, proclame l'indépendance de la Croatie, avec le but avoué d'en faire un état catholique modèle, selon l'enseignement de l'Eglise. Il reçoit immédiatement la bénédiction de l'Archvèque de Zagreb, Monseigneur Stepinac. Pendant toue la guerre, Ante Palevic, que Hitler et Mussolini méprisaient car ils le trouvaient trop violent à leur goût, enverra des rapports régulier au Pape Pie XII sur la progression de la catholicisation de la Croatie. Le chiffres sur les conversions (plus de 300'000 au cours de la guerre !) obtenues de gré ou de force que l'on trouve dans ces rapports au Saint Siège sont fournis par l'Archvèque Stepinac, qui sera béatifié par Jean-Paul II à la fin des guerres de Yougoslavie des années 1990. Dans les semaines qui suivent son arrivée au pouvoir, Palevic fait ouvrir des camps de concentration pour les othodoxes. Beaucoup des gardiens et des bourreaux des camps de concentrations seront des frêres fanciscains. L'un d'eux, Frêre Mirosav Filipovic, sera même le commandant du camp de Jasenovac où plus de 40'000 hommes, femmes et enfants trouvent la mort. Dans toute la Croatie, des conversions forcées de masse ont lieu. Quelques fois, les prélats et les Oustachis célèbrent ces "conversions" avec le sang au lieu de l'eau, pour reprendre un bon mot Oustachi. Le clegé participe activement aussi à ces tueries. Par exemple, le père Ivan Raguz lance un appel public demandant de tuer tous les Serbes (Orthodoxes), y compris les enfants, "afin que même la semence de ces bêtes ne reste"... Le génocides d'orthodoxes pare le régime théocratique des Oustachis tue environ 400'000 personnes.
En été 1941, lorsque les armées de l'Axe progessent dans les steppes russes, le Vatican demande officiellement au commandement de la Wehrmacht de pouvoir envoyer des missionnaires dans le sillage des troupes allemandes pour convertir au catholicismes les paysans russes orthodoxes. Hitler refusera, non pour des motifs idéologiques, mais pour des motifs purement logistiques et pratiques : avec l'humour parfois caustique propre aux dictateurs, il dira à ses conseillers qui le pressent d'accepter "Si on laisse les catholiques y aller, il faudra le permettre aussi aux autres églises, et bientôt nous auront dans nos arrières des missionnaires des différentes sectes chrétiennes qui se battent à coup de crucifix".
Il faut préciser que le pape persiste dans son parti-pris pour les nazis très longtemps pendant la guerre. En septembre 1943, suite à la capitulation de l'Italie face aux alliés, les allemands occupent Rome, et les rafles de juifs romains commencent. Le gouvernement allemand est inquiet des réactions possibles du Pape, et envoie à Rome le secrétaire d'état von Weitzsäcker pour examiner la situation... Le 28 octobre 1943, il communique au ministère des affaires étrangères : "Malgré les pressions exercées sur lui de plusieurs côtés, le Pape ne s'est laissé pousser à faire aucune déclaration de protestation contre la déportation des juifs de Rome". Ensuite, le Pape prend ouvertement parti pour l'occupant contre les résistants : le 12 mars 1944, pendant la fête de son ascension sur le trône, il lance un appel contre l'insurrection populaire contre l'occupant. Le 23 mars 1944, alors que l'on entend, la nuit, dans le lointain, les artilleries alliées qui pillonent les lignes allemandes, des résistants tuent 32 soldats allemands. Le lendemain, 335 italiens sont exécutés : des prisonniers politiques, de droit commun et aussi des civils. L'exécution a lieu dans le plus grand secret, dans une grotte dont on dynamite ensuite l'entrée. Lorsque, le lendemain, le massacre est connu et les cadavres sont découverts, les allemands répandent le bruit qu'ils avaient offert aux résistants de se livrer pour éviter le massacre. Cela est faux, bien sûr (l'exécution des 335 civils a eu lieu le lendemain de l'attentat, entourée du plus grand secret), mais cela n'empêche pas le journal officiel du Saint Siège, l'Osservatore Romano, de publier un éditorial (non signé), intitulé Carità civile ("charité civile"), qui attribue textuellement la responsabilité des 335 personnes assassinées par les SS allemands aux résistants. L'article en appelle ensuite aux "irresponsables" dirigeants de la résistance, leur demandant de ne plus sacrifier de vies humaines, et lance un vague appel de modération aux "responsables de l'ordre public" (les autorités fascistes et national-socialistes).
Les églises protestantes européenes ne se comportent guère mieux que l'église catholique face à la persécution des juifs par les nazis. Seules des rares voix s'élèvent, pas pour défendre les juifs, mais seulement les juifs convertis au christiansime. En 1942, l'église protestante néerlandaise menace les nazis de protester plus bruyamment si les juifs convertis au protestantisme continuent à être inquiétés. Les nazis proposent alors aux prélats néerlandais un pacte véritablement diabolique : en échange de son silence, l'église protestante néerlandaise obtient des nazis qu'ils renoncent à déporter les juifs qui se sont convertis au protestantisme avant 1941. Il va sans dire que ceux qui se sont convertis après 1941, ou qui ont commis l'erreur de se convertir au catholicisme, ne sont pas épargnés.
1948
Le pape déclare que toute personne qui voterait communiste, ou qui aiderait ce parti de quelque manière que ce soit, sera automatiquement excommuniée. (Ce qui est le comble pour une religion dont le prophète était un précurceur indéniable du communisme !! !) La mesure divise des familles, provoque des exclusions socialement intolérables pour beaucoup, contraint à clandestinité nombre de communistes de zones rurales.
Les curés italiens s'empressent de traduire cette décision dans les faits, et appellent leurs ouailles à voter pour le grand parti anticommuniste (DC - Democrazia Cristiana). Le régime DC s'effondrera ensuite dans la corruption généralisée au milieu des années 1990'.


Quiproquo et partie pour rétablir la vérité au sujet du pape et du sida (pour une fois quelque chose pas contre eux dans cet article...)

Le sida à la fin du 20° sciècle et encore de nos jours fait de grands dégats. Le pape aurait dit qu'il ne faut pas utiliser le préservatif et tout le monde s'est bien sûr emparé de cette parole pour accuser le pape d'inciter les gens à ne pas l'utiliser et donc à ne pas enrayer le sida. Mais c'ets faux ! Enfin ok le pape a dis qu'il ne faut pas utiliser le préservatif mais il a aussi dit qu'il ne faut pas avoir de rapports sexuels avant le mariage et il n'a pas dis qu'il ne fait pas faire de test de dépistage du virus HIV avant d'avoir un rapport sexuel avec quelqu'un... Là se trouve une manipulation de l'intélligencia anti chrétien très très bas et mauvais. Donc voilà... je voulais jsute mettre les points sur les "i" et ne pas accuser les chrétiens de choses dont ils ne sont pas coupable, ce qu'il n'excuse rien de tout ce qui est dis prédédement mais il ne faut pas non plus délirer et en inventer, y a déjà assez pour la fin des temps pour accuser les disciples du "fils de Dieu" de toutes les horreurs possibles et inimaginables.


Guerre de religion en ex yougoslavie :

Après la chutte du mur de Berlin la Yougoslavie est dans une situation difficile, en effet les orthodoxes Serbes dirigent seuls le pays qui regoupe les catholiques Croates, les muslumans bosniaques et kosovars. Il arrivea ce qui devait arriver : une geurre civile générale suivie d'une période sombre d'épuration ethnique perpétrée par le Serbe Milosévitch. Là encore racisme contre une autre religion mais de la part des orthodoxes (ce qui ne veux pas dire que les croates ou bosniaques ont étés inocents et de petits agneaux pendant cette guerre malgrès ce qu'on oput nous en dire les médias, tous ont étés cruels mais sans égal face aux Orthodoxes Yougoslaves)


Les pretres et les viols ou pédophilisme :

L'attitude de l'Eglise a cet égard et sans équivoque : étouffer les affaires en cachant les religieux condamnés et leur faire échapper à la justice et aux médias.
Une première affaire retentissante de ces années est celle de l'ancien cardinal-archevêque de Vienne, un ami personnel de Jean-Paul II : l'église catholique lui permet d'aller passer sa retraite dans un monastère de nonnes en Allemagne, échappant ainsi à la justice autrichienne. Le 9 avril 1998, alors que plusieurs affaires de prêtres pédophiles secouent l'opinion publique belge, la justice traite enfin, pour la première fois de mémoire d'homme, l'église catholique comme une personne morale soumise aux même lois que le reste de la société : la 34è chambre du tribunal correctionnel de Bruxelles non seulement condamne un prêtre pédophile, l'abbé André Vanderlyn, ancien curé de la paroisse bruxelloise de Jésus Travailleur à Saint- Gilles, coupable de plusieurs abus sexuels commis sur plusieurs enfants au catéchisme, à une peine de prison ferme, mais reconnaît aussi la responsabilité civile du Cardinal Danneels et son évêque auxiliaire, Mgr Paul Lanneau. Les deux hauts prélats étaient en effet au courant des agissements du prêtre pédophile, mais non seulement ils avaient gardé le silence, mais en outre ils n'avaient pris aucune mesure pour éviter le contact entre le pervers et ses victimes potentielles. A l'époque, les belges pensent que ce jugement fera jurisprudence, et que cela portera l'église à refréner les pulsions de ses prêtres pervers. Tous les regards se tournent vers Gand, où une autre affaire sordide est jugée : un prêtre a reconnu une relation homosexuelle avec un jeune paroissien, mais affirme qu'elle n'a commencé que lorsque la victime était majeure. Faux, accusent les parents de la victime, qui portent plainte : la 14è chambre correctionnelle du tribunal de Gand juge le 10 juin 1998 que la relation a bien commencé alors que la victime était mineure, avec la circonstance aggravante que le prêtre pédophile a abusé de sa position d'autorité. Le prêtre est condamné, mais par contre le tribunal refuse de reconnaître la responsabilité civile de l'évêque, son supérieur direct, au prétexte que l'autonomie du prêtre dans son travail est supérieure à celle d'un employé de son supérieur dans une autre société.
Les cas de prêtres pédophiles dénoncés se multipliant, l'épiscopat français, le dos au mur, proclame début 2001 qu'il ne couvrira plus les agissements des prêtres pédophiles. Hélas, en mars 2001, une nouvelle affaire de pédophilie d'un prêtre secoue la francophonie, cette fois en Suisse : à Vevey, l'on apprend que le curé est sous accusation pénale pour détournement de mineurs : il a eu des rapports sexuels avec un jeune de 15 ans à l'époque des faits. Le conseil de paroisse apprend les faits, et, immédiatement, lui pardonne et décide de cacher l'affaire aux paroissiens qui confient leurs enfants à cet individu lors du catéchisme. Mais les catholiques sont ainsi, ils sont toujours très prompts à se pardonner le mal fait à autrui. L'évêque ordonne de garder le secret sur l'affaire car... Les faits sont sans doute prescrits : ils datent des années 1980. Hélas pour l'église, la paroisse où le curé est accusé et n'échappera à la prison que grâce à la prescription a un 2è prêtre. Celui-ci s'indigne que l'on n'informe pas les paroissiens, et il semblerait qu'il ait passé à des tiers un "communiqué" que le conseil de paroisse avait préparé puis, après le pardon accordé au pédophile et l'ordre de silence de l'évêque, prudemment rangé dans un tiroir. Cette-fois-ci, la réaction de l'église est immédiate : le prêtre dénonciateur est licencié : comme il avait un statut de fonctionnaire, il n'a pas de droit à l'assurance chômage, et, en raison de son expérience professionnelle et de son âge, sa réinsertion professionnelle s'annonce difficile. L'église justifie sa punition par le fait que non seulement le prêtre a informé des tiers du passé criminel de son collègue, mais en plus il vit avec une femme ! Le prêtre pédophile est réconforté et protégé. La hiérarchie lui confie une nouvelle affectation pour ne pas lui imposer de devoir soutenir des regards hostiles, et lui renouvelle sa confiance, justifiée par le fait que les faits reprochés sont sans doute prescrits. Nous retrouvons donc le schéma classique : le pédophile est protégé par la hiérarchie et reste prêtre, il continuera à s'occuper de l'éducation religieuse des enfants, il est "pardonné pour le moment d'égarement" (par l'église, pas par la victime), le dénonciateur est, lui, sévèrement puni.
Pour compléter le tableau, le Présidium de la Conférence des évêques suisses se fend d'un communiqué le 5 avril 2001 : ils y dénonce... Les médias qui ont ébruité l'affaire ! Sans citer nommément Vevey, le communiqué s'insurge contre le fait que les médias auraient dit que des prêtres "succomberaient à des pulsions pédophiles, abusant ainsi de leur autorité face aux enfants". Et le silence ? Il n'y a pas de silence, dit le communiqué, qui ose : "Peut-être dans certains cas la communication aura-t-elle mal passé, peut-être le désir de protéger un présumé innocent ou une probable victime aura-t-il poussé à ne pas informer suffisamment". Enfin, les évêques réaffirment leur plein soutien aux prêtres qui seraient accusés, et concluent " dans les cas d'erreurs [ un abus sexuel d'une enfant est donc une erreur et non un crime, d'après les évêques, ndr ] commises par des hommes d'Eglise et prouvées, le devoir des évêques est d'implorer le pardon des victimes, laissant à la justice la responsabilité de punir les contrevenants de façon équitable" : autrement dit : les prêtres pédophiles peuvent compter sur les évêques pour qu'ils essaient de pousser les victimes à ne pas porter plainte.
Une fois que la tempète médiatique est enfin retombée, l'évèque responsable du diocèse où ont eu lieu les faits, Monseigneur Genoud, évèque de Lausanne-Genève-Fribourg, donne le 19 juin une conférence de presse pour condamner... La masturbation ! (LOL pour un pédophile c'tes le comble quand même ! pfff) Du haut de son autorité morale de protecteur de pédophiles, il explique la gravité extrème du geste. L'on ne peut que en conclure que pour l'évèque, il est plus grave qu'un adoléscent se masturbe que ne soit abusé sexuellement par un prêtre.
10 millions de Dollars ! Telle est la somme que l'archidiocèse de Boston a investi entre 1997 et 2001 pour faire taire les victimes d'un prêtre pédophile actif, qui a agi dans le cadre de ses fonctions pendant plusieurs décennies, jusqu'en 1998. L'affaire serait restée secrète si elle n'avait été révélée par le journal Boston Globe. L'indignation est immense. En effet, en 1992, l'Eglise catholique américaine avait déjà été secouée par un fait semblable : plus de 100 victimes d'un prêtre pédophile obsédé, James Porter, du diocèse de Fall River, dans le Sud-Est du Massachussets, avaient apporté des preuves que le pervers avait été transféré de paroisse en paroisse pour le mettre à l'abri de la colère des parents d'enfants abusés, alors que son obsession et ses abus sur les enfants était connue de ses supérieurs. L'Eglise Catholique avait alors juré ses grands dieux que l'on ne l'y reprendrait plus. Elle avait en effet à ce moment là pris conscience que l'ère de l'impunité de ses clercs était passé. Déjà en 1985, un rapport confidentiel interne mettait en garde l'épiscopat sur le fait que "la confiance que nous pouvions avoir dans le passé sur les juges et procureurs catholiques pour qu'ils protègent les clercs du diocèse a disparu". En 1993, l'archevêque de Boston annonçait la mise en place de directives très sévères sur la pédophilie, qui prévoyaient entres autre que tout prêtre suspecté de pédophile devrait être temporairement éloigné de l'activité paroissiale. En janvier 2002, c'est le même Archevêque qui doit expliquer au public indigné pourquoi lui-même a ignoré les directives qu'il avait annoncé en 1993.
Cette nouvelle affaire a un goût de déjà vu. Le prêtre a molesté plus de 130 enfants en près de 30 ans. Il gardera ses fonctions, et changera plusieurs fois de poste, jusqu'en 1998, alors que dès 1984 l'archevêque de Boston, Monseigneur Law, est averti par une lettre de l'obsession du père Geoghan. En 1985, il est en possession d'un rapport sur le traitement de la pédophilie, qui met en garde contre les risques très élevés de récidives. Mais le Monseigneur atteint 1989 pour enfin demander au prêtre pervers de se soumettre à un traitement de 3 mois, après quoi il le renvoie en paroisse, où il est à nouveau en contact avec des enfants et fera de nouvelles victimes. Le prêtre s'attaque de préférence aux enfants de familles pauvres : il gagne la confiance des parents, achète des glaces aux enfants, après quoi il les abuse sexuellement. Lorsque des familles portent plainte, l'archevèché achète leur silence.
La politique du maintient du secret à tout prix que l'Archidiocèse de Boston a suivi dans le cas du père Geoghan est conforme aux règles de l'Eglise Catholique. En effet, dans une lettre datant de 2001, approuvée par le Pape Jean-Paul II, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a instruit la hiérarchie sur la méthode appropriée de traitement des cas de pédophile : ces cas sont soumis au secret. pontifical et traités exclusivement par des prêtres, dans des tribunaux ecclésiastiques dont procureurs, juges et défenseurs sont des prêtres et dont la procédure est évidemment secrète.
A l'aube du troisième millénaire, l'Eglise Catholique est ainsi encore un nid de pédophiles : les clercs coupables d'abus sexuels contre des enfants continuent apparemment à êtres protégés : protégés de la justice, puisque toute affaire doit être tenue secrète et traitée uniquement en interne. Et protégés de la vindicte populaire, puisque l'église reste prête à investir des millions de Dollars pour imposer le silence aux victimes de chaque clerc pédophile.


Dans cet article je n'ai pas parlé de tout bien sûr car sinon cela prendrai trop de place, mais il y a aussi dans le désordre les pratiques austères et horribles dans les monastères, la Limpieza espagnol (séparée de 1 sciècle avec le nazisme mais avec la même gueule...), les croisades aprofondies, le cas de Calvin libre penseur, les encores plus nombreux cas d'antisémitisme chrétien avec les camps qui durèrent jusqu'à la séparation de l'état et de l'église, la guerre entre les différentes branches chrétiennes : catholicisme, protestantisme, orthodoxes (guerres de religion), le racisme anti Maures, le cas de lucino vanini qui donna des explications tangibles aux "miracles" et qui fut précurceur du darwinisme, le cas Galillé, l'antisémitisme en russie par les orthdoxes, l'aide du vatican aux pretres rwandés accusés de génocide, les horreurs des sectes chrétiennes...

Pour terminer sur une touche humouristique (si on peux dire) : une petite blagounette :
Un juif s'indigne et prie l'Ineffable car son fils s'est converti au christianisme
"Ô toi l'Ineffable, jéhova, je te prie pour te faire part de mon indignation" car mon fils est devenu catholique
Et dieu lui répond : "Arf m'en parle pas moi c'est pareil"


Je rappelle tout de même encore que cet article ne veux pas vous enlever votre croyance si vous en avez une ou réveiller des haines, juste vous dire que la religion ça mène a des folies (des hérésies comme le diraient nos chers sujets) et que si vous voulez croire croyez seuls et par vous même, mais pas embrigadés dans une secte quelle qu'elle soit, que toutes les religions ont leur lot de folies et de monstruosités et que cet article aurait très bien put etre fait sur les muslumans, les juifs ou autres...

Sources : le livre noir du christianisme, la bible (ou tora , ou le premier livre du coran; c'est à chaque fois le meme...) , l'évangile (il faut connaitre un peu de quoi on parle...) , un manule d'histoire , le malleus maleficarum, le site www.heresie.com et surtout le site www.ozone.ch/private que je vous recommande tout particulièrement si vous voulez en savoir plus à ce sujet...
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Re: Les horreurs du christianisme
Posté par julie_danse le 23/04/2005 23:13:26
Il y a une difference entre dire d'être chrétien et le vraiment être. Si tu es chrétien, on le doit voir de ton facon d'agir.

Et ne confondez pas la difference entre dieu et religion
Re: Les horreurs du christianisme
Posté par jmiyun le 20/08/2004 07:52:35
on a le droit d'ètre contre une religion et d'exposer ses arguments mais en restant objectif... un récit trop subjectif et emporté perd de la crédibilité...
Franchement mesure tes propos.... le genre de vieille blagues foireuses ne font pas de ce que tu dis des arguments... ("On ne lui connais aucune femme ni aucune petite amie (de quoi le rendre peut etre dérangé mental...) et comme le disais glen benton le chanteur de deicide si justement : "un gars qui se balade avec 12 gars à son cul ne peut etre que homosexuel"
>haha très drôle... remarque très constructive.... <)

Tu éxagère aussi un peu trop pour transfromer de simple faits en arguments
( [...]Ce qui est le comble pour une religion dont le prophète était un précurceur indéniable du communisme !! !
> ouais enfin calme toi.. Jesus n'envoyai personne dans des goulags comme à l'époque du communisme Stalinien... et parler de "précurseur du communisme" est un peu fort, non ? <

Beaucoup de tes arguments sont ausi axés sur des minorités qui se disent chrétiennes ( prètre pédophiles, Hitler et sa suite, Milosevic) mais cela ne veut pas pour autant dire qu'elles sont les portes drapeaux de cette religion et qu'elles en sont les exemples.... il ne faut pas non plus généraliser... ce sont des arguments bien sûr mais plus faibles que ce que tu essaye de faire paraitre....

Voilà ton article pourrait ètre bien avec plus de retenu.... je ne suis aps pro-catholique ni anti-catholique mais j'estime que chacun à le roit de penser ce qu'il veut et d'être respecté ...

Répons stp le débat est tdm^m intéressant...
Re: Les horreurs du christianisme
Posté par timirlane le 20/08/2004 07:52:35
Echouekorps , je savait que tu finira par avouer que t'ai homo , rien de plus.
Re: Les horreurs du christianisme
Posté par echouekorps le 20/08/2004 07:52:35
le pîre c'ets que dans cet artile je ne fais que duire des faits historiques, c'etscome si vous alliez dire à un prof de'hitoire "oh sale enculé " etc.. parecq u'il dis des faits...
Et sinon oui oui je suis come les pretres , pedo, homo, zoo, necro phile lol. Mo,n oseudo c'et gille sde ray c'st bine connu ;-)
Re: Les horreurs du christianisme
Posté par timirlane le 20/08/2004 07:52:35
Jure moi! Je parie que tes gay comme les pretres , entrain de violer les ptits gars et de les enculer , n'est ce pas?
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Publié le 24 septembre 2003
Modifié le 24 septembre 2003
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