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Les risques de la drogue

J'entend parfois certaines personnes dirent "la drogue ça me fascine", "je suis sûre qu'un jour j'essayerai bien, juste pour voir ce que c'est". Quel bêtise, quel connerie oui ! Laissez moi vous citer les conséquences de ces substances que je surnomme sans honte "de la merde" !


On va commencer par le cannabis, oh oui ça c'est sur vous vous êtes fait une idée du cannabis assez bonne pour beaucoup d'entre vous, laissez moi démentir quelques idées : Le cannabis ce n'est pas pire que l'alcool. FAUX ! Les dégats liés aux cannabis sont tout aussi dangereux que l'alcool. Nous verrons cela par la suite.
Le cannabis est une drogue douce, et il ne mène pas aux drogues dures. FAUX, ARCHI FAUX, beaucoup de personnes ne seraient pas tomber dans la drogue dur si elles n'avaient pas connues les drogues douces.
Le cannabis n'engendre pas une dépendance. FAUX : toute habitude est une dépendance, un fumeur régulier aura beaucoup plus de mal à ne plus fumer de cannabis qu'un fumeur occasionnel d'ou une dépendance.


Les dégats :

Indifférence et détachement vis-à-vis de l'environnement.
États occasionnels et atypiques de désorientation, de confusion, d'angoisse, de panique et de délire.
Véritable anxiolytique, il induit chez certains, des états d'angoisse transitoires avec somatisations cardio-vasculaires possibles.
Les effets produits par le cannabis sont directement liés à la personnalité du sujet, au contexte de la prise, à la quantité absorbée et à la qualité du produit.
Étourdissements, somnolence, difficultés de concentration voire confusion mentale.
Après avoir fumé, il provoque également une hausse du rythme cardiaque, diminution de la pression artérielle, cessation temporaire de la sécrétion de la testostérone (hormone mâle).
Une anxiété aiguë ou des réactions psychotiques peut survenir lorsqu'un utilisateur fragile croit avoir perdu le contrôle de son état mental.
L'inhalation chronique de fumée de cannabis peut induire des altérations pulmonaires avec risque de cancer du poumon, de bronchite ou d'emphysème.
Perte de mémoire.
Des modifications de la personnalité avec syndrome de démotivation.
Le sujet perd le sens du réel, la notion de temps et d'espace.
Dépression et sommeil.
Les perceptions auditives et visuelles peuvent être modifiées.
L'usage excessif du 'joint' (5 à 10 par jour) peut donner, en un an, des sinusites et bronchites chroniques qu'un fumeur de tabac de 20 à 40 cigarettes par jour connaît en 5 à 10 ans. Il est 10 fois plus prédisposé à avoir un cancer du poumon.
Le système immunitaire s'affaiblit et laisse le champ libre aux virus et autres microbes.

Chez l'homme, le THC peut provoquer une diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes en proportion de l'intensité de l'usage du cannabis. Une réduction progressive du niveau des hormones mâles produites. Ce qui explique l'impuissance sexuelle qui frappe les fumeurs excessifs après plusieurs années.

Chez la femme, le cannabis peut entraîner une altération de l'ovulation. De plus, il est toxique pour le fœtus. La femme enceinte qui continue à fumer du cannabis met au monde un enfant de poids et de taille inférieure à la moyenne.

Le THC entraîne des modifications biochimiques.

En dérégulant l'action des neurotransmetteurs, il altère l'équilibre délicat existant entre le centre du plaisir (cellules limbiques) et le centre de la décision, réflexion (néo-cortex).
C'est ce qui explique le ralentissement de l'intérêt intellectuel, une certaine indifférence, l'éloignement de la vie sociale, des périodes d'euphorie suivies de périodes d'apathie et de dépression de plus en plus longues.


L'HEROINE maintenant :

10 mn L’héroïne agit au sein du tissu nerveux central et franchit la barrière sanguine du cerveau. Le sujet ressent brutalement une phase d’excitation puis de plaisir intense. C’est le « flash », que certains décrivent comme un orgasme.
La pupille se rétrécit et ressemble à une tête d’épingle, ce qu'on appelle un myosis.

15 mn Baisse de la température du corps, troubles moteurs. Diminution des sécrétions des glandes salivaires, la bouche devient sèche. Diminution des capacités de mémorisation, d’attention, ainsi que des performances intellectuelles.

Phase de relaxation, sensation de repli sur soi, mais aussi risques de convulsions avec vomissements.

8-10h Les effets du produit s’estompent et laissent place à un vide profond.

24 h En raison d’une diminution des sécrétions acides, augmentation du temps de vidange gastrique de l’estomac, donc constipation.

48 h Les personnes dépendantes expérimentent le paroxysme de la crise de manque : troubles intestinaux et urinaires, vomissements, état confusionnel, agitation.

4 jours Les traces d’héroïne ont disparu des urines, ses effets aussi.

EFFETS SECONDAIRES :

L'héroïnomane porte des traces de ses nombreuses injections intraveineuses. Il se produit une sclérose extensive faisant apparaître des stigmates indélébiles sur le tracé veineux. De plus, rétrécissement de la pupille, parler embarrassé, photophobie, démangeaisons et extrême maigreur s'installent très rapidement.

L'héroïne crée une pharmacodépendance importante et les troubles de sevrage sont spectaculaires. C'est le "manque" ou "syndrome de sevrage" qui apparaît très rapidement lorsque le sujet n'a pas la possibilité de s'injecter la dose dont son organisme a besoin.

Sur le plan psychologique, le sujet est entraîné dans une délinquance spécifique liée à la nécessité de se procurer le produit, il s'aliène alors dans un rétrécissement de son champ vital centré sur la recherche et l'absorption de la drogue.



COCAINE :

- La fatigue augmente.
- On constate une augmentation de la nervosité et de l’anxiété.


EFFETS A LONG TERME :

- La cocaïne inhalée peut causer des dommages (inflammations et perforations) à la paroi nasale.
- À long terme, les utilisateurs se plaignent souvent d’une réduction de la performance sexuelle ou de la libido.
- La perte d’appétit amène une malnutrition.
- Chez la femme, irrégularité menstruelle ou disparition des règles.
- Augmentation des risques convulsifs.
- Les utilisateurs deviennent davantage susceptibles de vivre des épisodes dépressifs.
- On observe souvent l’apparition de comportements de méfiance, de paranoïa.
- Atteinte de la mémoire.
- L’usage de la voie pulmonaire est associé à des problèmes respiratoires : bronchites, asthme, cancer.


EFFETS A HAUTES DOSES :

En plus des effets cités hauts :
- Pouls rapide et filant.
- Hyperthermie.
- Agitation, confusion.
- Hallucinations tactiles, visuelles et auditives.
- Psychose.
- Mort par convulsions, hypothermie, défaillance cardiaque, etc. causées par une surdose.

Relisez tout ça avant de vouloir "essayer".
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Re: Les risques de la drogue
Posté par manson le 09/11/2005 21:38:26
Je suis pour les drogues douces, surtout la weed, mais contre les drogues dures...
J'en connais un rayon sur les drogues douces car elles m'interesse mais franchement pourquoi avoir creér la cok , l'héro, le lsd, l'extasy... ca c de la merde!
Re: Les risques de la drogue
Posté par solomand02 le 20/08/2004 07:56:28
dsl yack mais tu te trompe ! encore une personne qui parle sans savoir on dirait ! o_0

Bref, moi je peux te dire que ce que tu dis est faut, puisque lorsque j'ai commencé les joins ya deux ans, j'en fummais entre un et 3 par semaine, et, non seulement cette quantité n'a pas augmenté, mais en plus elle a baissé puisque je suis à présent fummeur occasionnel (fetes, sortie ac des potes). à titre indicatif mon dernier remonte à deux mois voir + donc bon apparement pas de dépendance non ? j'en ai meme pas chez moi, et n'en ressens pas le besoin, alors il faut arreter les copier/coller car la vrai vie est souvent différente des bouquins !

arthurounet >> cmt peux tu dire que qqun est plus exposé à la mort que qqun d'autre ? tout le monde meurs si je ne m'abuse non ? fumeurs, heroinnomans et gens saints de corps et d'esprits !
Re: Les risques de la drogue
Posté par degage666 le 20/08/2004 07:56:28
Ben moi je trouve cet article moralisateur,gonflant quoi.

"Le sujet perd le sens du réel, la notion de temps et d'espace."
Mais c'est justement pour CA qu'on se drogue, le mettre dans les effets indésirables c'est ignorer à quel point c'est bon de ne plus se préoccuper du temps, de l'espace et de ce putain de REEL auquel on est condamné à être accroché constemment.
La drogue moi je trouve que ça troue le cul.
L'abus(le fanatisme en quelque sorte),là se situe la connerie.Mais c'est la connerie universelle l'abus, c'est valable pour tout et tous. Donc, avec un minimum de raison, on peut s'envoler sans crainte de l'atterissage.
Et parfois, c'est meme salvateur. Bref, je dis pas droguez vous(c'est pourtant pas l'envie qui m'en manque)mais soyez RAISONNABLE et la "pause" au milieu de la partie(la vie) est à vous.
Re: Les risques de la drogue
Posté par verte le 20/08/2004 07:56:28
Ce se voit dans ton article que n'as jamais consommé les drogues dures dont tu parles. Les jeunes à qui on propose de la coke ou de l'héroïne sont rares.
Les drogues qui nous concernent, celles auxquelles nous pouvons être confrontés, ce sont les solvants (colle, poppers, éther, voire eau écarlate pour certains) et les cachets, que ce soit la kétamine, l'ecsta, etc.
Je crois que pour que ton article apporte vraiment quelque chose, c'est de ça qu'il faut parler. Parce que quand tu prends de ça, il n'y aucune information disponible. Tu ne sais pas que du auras des problèmes de mémoire, que tu ne comprendras plus rien en cours, que tu auras des spasmes, des hallucinations, des maux de têtes, et que la descente est longue longue longue...
Les autorités ne parlent que de shit, d'alcool et de tabac, mais nous sommes nombreux à goûter les drogues peu chères que je viens de citer, en les croyant inoffensives. Et après nous nous retrouvons accros sans avoir eu le temps de comprendre.
Je ne parle pas au hasard, ni même d'après observation dans mon lycée, mais d'après ma propre expérience, car je suis passée par tous les solvants cités, et d'autres. Pour m'en sortir j'ai du faire mon sevrage toute seule car aucun médecin ne s'y connaissait, et peut-être que si j'avais lu des trucs là-dessus je n'aurais pas perdu tant de temps en conneries.

VeRte
Re: Les risques de la drogue
Posté par arthurounet le 20/08/2004 07:56:28
L'article en lui même est bon, mais trop subjectif...
Tout le monde ne le sait pas, mais pour l'exemple, un fumeur clapant 20 garrots par jour est considérablement plus exposé à une mort qu'un héroïnomane s'injectant disont 3 à 4 fois durant l'année. Cest vrai, les drogues dites "dures" sont le pire ami de l'homme à long terme, mais le fin mot est qu'il faut se limiter en tout, ne pas exagerer.
En connaissance des effets, pourquoi ne pas essayer le chichon pour une soirée... et ne pas se mettre à le fumer 20 fois par jour...?
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Publié le 01 mars 2004
Modifié le 01 mars 2004
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